Couverture_Une_famille_presque_parfaite_Dimitris_Sotakis

Sortie : 18 janvier 2019
160 pages
N° ISBN : 978-2-36956-073-9
Traduit du grec par Françoise Bienfait


12,49 17,00 

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Dimitris Sotakis

Dimitris Sotakis est né à Athènes en 1973. Il a étudié la musicologie à Londres et a publié son premier livre en 1997. Son œuvre a reçu de nombreux prix et ses livres connaissent un succès croissant en Grèce et plus largement en Europe. Après L’argent a été viré sur votre compte  (prix Athènes de Littérature, 2010), puis Comment devenir propriétaire d’un supermarché sur une île déserte, Une famille presque parfaite est le troisième roman de Dimitris Sotakis publié aux éditions Intervalles.

Une famille presque parfaite

Zerin est un rentier cultivant une passion unique, dévorante et inexplicable pour tout ce qui a trait à la Roumanie. Le jour où il apprend qu’une famille roumaine s’est installée en ville, il s’empresse de tisser des liens avec les nouveaux arrivants.

Bientôt, l’ami de la famille devient si incontournable par ses largesses que c’est une nouvelle cartographie familiale qui se dessine, dont les contours sont de plus en plus évidents.

Dimitris Sotakis est passé maître dans l’art de manier l’absurde comme le tragi-comique. Son sens de l’allégorie et la façon dont il joue avec le lecteur font de ses romans des délices d’humour noir.

Après L’argent a été viré sur votre compte  (prix Athènes de Littérature, 2010), puis Comment devenir propriétaire d’un supermarché sur une île déserte, Une famille presque parfaite est le troisième roman de Dimitris Sotakis publié aux éditions Intervalles.

Critiques

« Le mélange entre légèreté de la narration et noirceur des événements est particulièrement réussi, faisant de ce roman un récit original et séduisant. » Alexia Kalantzis, La Petite Revue

« un humour noir sous-jacent très efficace. » Notes bibliographiques

« Diabolique intrigue » Daniel Fattore

« un ravissement » Lyvres.fr

« une immixtion méticuleusement réfléchie dans un foyer, et surtout un cheminement comique, absurde et finalement proche du mystique » Ramzi Touma, Le Courrier