Couverture_Les_petites_fees_de_New_York_Martin_Millar

Sortie : 8 avril 2009
300 pages
N° ISBN : 978-2916355368
Traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Marianne Groves


19,00 

Martin Millar

Martin Millar est né à Glasgow, en Ecosse, et vit à Londres. Ses romans sont traduits dans le monde entier. Sous le pseudonyme de Martin Scott, il est  aussi l’auteur de la série de science-fiction Thraxas, qui a remporté en 2000 le World Fantasy Award dans la catégorie « roman ». Neil Gaiman, qui compte parmi ses plus grands admirateurs, l’a comparé à « un Kurt Vonnegut qui aurait eu les pires fréquentations du monde ». Après Les petites fées de New York et les deux tomes de la série Kalix, La Déesse des marguerites et des boutons d’or est le quatrième roman de Martin Millar publié aux éditions Intervalles.

Les Petites Fées de New York

  • Préface : Neil Gaiman

« Le récit des Petites Fées de New York démarre avec Morag et Heather, deux petites fées hautes de cinquante centimètres, portant épée, kilt vert et cheveux mal teints, qui volettent par la fenêtre du pire violoniste de New York, un type antisocial et obèse nommé Dinnie, et vomissent sur sa moquette. Qui sont-elles et comment sont-elles arrivées à New York, et en quoi tout cela concerne-t-il l’adorable Kerry, qui vit dans l’immeuble d’en face, est atteinte de la maladie de Crohn et confectionne un alphabet des fleurs, et en quoi tout cela concerne-t-il les autres fées (de toutes nationalités) de New York, sans oublier les pauvres fées opprimées de Grande-Bretagne, voilà le sujet du livre. Il contient une guerre, ainsi qu’une mise en scène fort inhabituelle du Songe d’une Nuit d’Été de Shakespeare, et des solos de guitare de Johnny Thunders des New York Dolls. Que peut-on demander de plus à un livre ? »

Critiques

« C’est drôle, enjoué, sans passage à vide, trépidant très à l’image des fées qui n’aiment rien tant que rire, chanter, boire, jouer de la musique… et s’envoyer en l’air sans complexe. » A livre ouvert

« Et si les bonnes fées étaient des « bad girls » comme les autres ? » Pascal Bories – Jalouse

« Une histoire somme toute pas banale, à la hauteur des talents de conteur et de dramaturge de Martin Millar. Sous des dehors de légèreté badine, nous voilà très vite plongés dans une fresque captivante, mêlant théâtre shakespearien, récit choral et univers marvel. » Le Cafard cosmique

« Lorsque deux fées se retrouvent perdues en plein Central Park pour cause d’abus de whisky et de champignons hallucinogènes, on est sûr d’approcher un bon moment de fantaisie urbaine. » Céline Cauvi – Let’s Motiv Méditerranée

« Martin Millar part d’une idée limite nunuche (ooooh ! des fées dans la grande ville, comme c’est mignon !), et l’explose dès la première page en nous montrant des fées grunge, ivres mortes, de vraies teignes. Il nous maintient en haleine page après page en imaginant une suite de rebondissements tout à fait logiques, mais parfaitement loufoques. » Julien Vedel – Aufeminin.com

« A consommer sans modération. » Christine Sallès – Psychologies

« Cette fantaisie poétique pleine d’ironie contient une guerre, une vision inédite du Songe d’une nuit d’été et des solos de guitare de Johnny Thunders des New York Dolls. Doux-dingue, rapide et pertinent. Comme dit l’autre, c’est magique. » Jean-Michel Ulmann – Impact Médecine

« Entre comédie baroque et héroïc-fantasy, Martin Millar nous livre un petit chef-d’œuvre de l’exclusion et des apparences où le lecteur est l’animal riant le plus intelligent sur la terre. » Amélie Rouher – Le Magazine des Livres

« le charmantissime bouquin de Martin Millar amuse carrément par ses juxtapositions hilarantes entre nos deux mondes (…), sa peinture d’un New York seventies par ailleurs tout à fait réaliste (…) ajoute au charme de cet étonnant urban fantasy » Agnès Léglise – Rock & Folk

« C’est une petite merveille… pleine de poésie » Gérard Collard – Librairie La Griffe Noire

« C’est exceptionnel ! » Marina Carrère d’Encausse – Le Magazine de la Santé, France 5

« C’est dans ce joyeux bazar déjanté et loufoque que Martin Millar nous emmène avec finesse et humour. » Awalie, La Boîte à évasion