Sortie : 23 septembre 2013
144 pages
N° ISBN : 978-2-91635-590-0
17,00 €
Les heures pâles
C’est l’histoire d’un père, d’un flic exemplaire, d’un professionnel de la vérité. Pendant dix-huit ans, il a fait le choix d’un étrange mensonge : un autre amour, un autre enfant, à vingt minutes de chez lui, et personne ne le savait, ou presque. Un jour, le scandale éclate et l’un de ses fils, journaliste, mène l’enquête - ou plutôt couvre, comme en reportage, l’implosion du modèle parental - entre Lyon, Paris et le Mali.
Critiques
« … une enquête, une vraie, de celles dont on fait les épopées édifiantes autant que les pansements intimes. » François Perrin, TGV Magazine
« Un premier roman très maîtrisé qui en laisse augurer d’autres de très bonne facture. Une très belle découverte, très convaincante pour cette rentrée littéraire de 2013. » Yves Mabon, Les 8 plumes
« Une fort belle entrée en littérature, tantôt conventionnelle, tantôt envoûtante, tantôt simplement emportée sur le rythme d’une chanson d’Eddy Mitchell. » Daniel Fattore
« Je ne saurais trop recommander à la terre entière… la lecture des Heures Pâles de Gabriel Robinson… En deux mots, c’est drôle et triste – rien de meilleur. » Philippe Jaenada
« Instantanément posé, clair, dans le ton. (…) Un bel et bon vrai livre (…) On voit sortir du rang, assez franchement, un chic type sans âge, un peu immature, enfantin, famille, qui commence à franchir le pas – à sortir de la maison. Roman de formation, nouvel auteur postulant. Pas antipathique, courageux, crâne dans sa façon de se présenter sans nihilisme, sans grandes revendications sauvageonnes. « Me voilà… » Voyons ce que va devenir « Gabriel Robinson » ? One shot – jet de gourme ? Ou début d’engagement ? (…) Mi Jean-René Huguenin, mi Delerm ou Bobin peut-être. Ode à la vie, à la modestie, au mérite, à l’effort, à la conciliation. (…) Bienvenue au club des nerveux magnifiques et lamentables. » Bayon
« Outre un titre très séduisant, Les Heures pâles possède le charme de la belle littérature (…) Une histoire passionnante (…) On parle ici de ce qui s’assume, au sens le plus large du terme (…) Ce moment où l’on pâlit après la nouvelle, et qu’il convient de dépasser pour vivre encore. » Stéphanie Joly, Paris-ci la culture
« L’auteur dépeint avec une incroyable justesse et vérité la psychologie de chacun des protagonistes. Un style soigné, une musicalité et un rythme fabuleux. » Booknode
« Un premier roman qui a du corps et du cœur ! » Cécile Juignet, librairie Atout-Livre
Vidéo : Gabriel Robinson interrogé par la librairie Mollat