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Sortie : 6 octobre 2023
160 pages
N° ISBN : 978-2-36956-335-8
français


20,00 

Sonia Ristić

Née en 1972 à Belgrade, Sonia Ristić a grandi entre l’ex-Yougoslavie et l’Afrique, et vit à Paris depuis 1991. Après des études de lettres et de théâtre, elle a travaillé comme comédienne, assistante à la mise en scène et avec plusieurs ONG. Dans les années 2000, elle a fait partie du collectif du Théâtre de Verre et a créé sa compagnie, Seulement pour les fous. Elle encadre régulièrement des ateliers d’écriture et de jeu en France et à l’étranger. Après La Belle Affaire paru en 2015, Des fleurs dans le vent est le deuxième roman de Sonia Ristić publié aux éditions Intervalles.

Celles qui se perdent

 Entre Paris et la baie d’Arcachon, six femmes d’âges, d’origines, de milieux différents se retrouvent à un tournant de leur vie. 

Il y a Joséphine, qui n’arrive plus à sortir de chez elle et qui se lance dans la conquête du monde virtuel. 

Il y a Daphné, qui se sépare de son compagnon avec lequel elle bataille pour le partage de leur collection de meubles design. 

Il y a Florence, qui se jette corps et âme dans des travaux de rénovation et qui espère échapper à la solitude en ouvrant une maison d’hôtes. 

Il y a aussi Agnès, qui abandonne époux et enfants pour s’enfermer dans sa maison de vacances et peindre. Hortense, qui lit dans sa cuisine et égrène les souvenirs. Marion, qui ouvre en grand les placards renfermant les secrets de famille. 

Sur un ton faussement léger et désinvolte, Celles qui se perdent raconte les tout petits cailloux qui font dérailler le cours d’une vie et les grandes tragédies qui se transmettent de génération en génération. Ces sept épisodes en forme de puzzle composent une histoire commune, dans la toile des hasards improbables et des choix assumés que tissent les liens féminins. 

Critiques

« Les occasions de détendre les maxillaires sont rares, alors un merci infini à Sonia Ristić de dédoubler ses talents avec ce récit littéraire gigogne dans lequel elle a inséré des illustrations pleines de couleurs. » Vincent Edin

« un roman faussement léger. La mise en page aérée, dans un format plus large qu’un roman classique, l’écriture fluide, sans artifice et les illustrations de l’autrice, très colorées qui représentent des paysages, des intérieurs de maisons, concourent à l’impression de légèreté, presque de livre pour la jeunesse. Mais ne nous y trompons pas, ses héroïnes sont plus complexes qu’il n’y paraît. Elles subissent et se relèvent. Elles osent. » Lyvres.fr

« Il se dégage de Celles qui se perdent un indéniable charme. La saveur acidulée des dessins associée au récit de ces vies éprouvées par l’époque compose un ensemble doux -amer. La construction en constellation tient en haleine dès les premières pages. » Carole Zalberg

« Chaque histoire fonctionne comme une courte nouvelle, un récit qui débute sans complexe in medias res pour nous mener à un dénouement ouvert. On y fait son plein de tendresse, d’indulgence et de sourire. » Les Notes bibliographiques