Cafard noir

Seize leçons d'enveloppement personnel

Depuis quelques années, une pléthore de livres promet le bonheur à ses lecteurs. Sous des titres plus ou moins taquins, ils singent les guides de développement personnel et envahissent les librairies comme si nous étions tellement déprimés que seule la littérature pouvait triompher là où les antidépresseurs ont échoué. On appelle communément les perles de ce tsunami littéraire des « feel good books ». Mais fait-on vraiment de la littérature avec de bons sentiments ?

Seize auteurs d’aujourd’hui réunis sous la férule de Stéphane Rose ont tenté de démontrer le contraire.

Laurence Balan – Mona

Myriam Berliner – Au beau fixe

Anne Bouillon – Jolly Good Fellow

Ornella Caldi – Quand viennent les nuages, il est temps de partir

Marcel Caramel – Le fabuleux destin de Sidonie Chouquette

Nicolas Cartelet – Attractive World

Eugénie Daragon – Rocinha

Delphine Dubos – R comme Ratage

Benjamin Fau – La consolation

Pascal Fioretto – Devenez vous-même en mieux : soyez pédé

Patrice Jean – Poupinette story

Diane Peylin – La fête des mères

Laurette Polmanss – Pinata

Stéphane Rose – Bonne continuation

David Vauclair – Sirop de grenouilles

Arnaud Vauhallan – L’odeur de mon chagrin est plus forte dans les bois

Critiques

« seize écrivains ont décidé de nous casser le moral. Comme ils le font bien, on en ressort en pleine forme. » Pierre Cormary

« peu charitable mais éminemment jubilatoire » Yozone.fr

« on rit beaucoup et souvent des malheurs de tout ce petit monde. » Notes bibliographiques

« En ces temps de Covid-19, l’humour noir et la dérision devraient être remboursés par la sécurité sociale. » Le Dit des mots

«  Le ton s’avère piquant souvent, féroce même ; » Daniel Fattore

« Un peu de mauvais esprit, de l’ironie, du sarcasme, de la moquerie de la tendance au beau corps dans un bel esprit, un peu de méchanceté qui fait sourire et du bien. » Lyvres.fr

«  des merveilles d’humour noir » Mélie & les Livres

« Les récits joyeusement sinistres de cet ouvrage agissent avec humour comme des antidotes ironiques et salutaires à l’une des maladies de notre époque : l’injonction au bonheur obligatoire. » Laurent Gourlay,  CDF Mag